SAINTE CATHERINE LABOURÉ (1806-1876) CHEZ LES FILLES DE LA CHARITÉ, RUE DU BAC À PARIS COMMENCENT LES APPARITIONS
la Vierge Marie lui est apparue, des rayons de lumière sortant de ses mains ouvertes pour éclairer le globe sur lequel elle se tient. Elle lui a demandé de faire frapper et répandre une médaille à son effigie et portant l’invocation :
« Ô Marie conçue sans pêché, priez pour nous qui avons recours à vous. »
De l’Évangile de Luc 21, 29-33
En ce temps-là, Jésus dit à ses disciples cette parabole : « Voyez le figuier et tous les autres arbres. Regardez-les : dès qu’ils bourgeonnent, vous savez que l’été est tout proche. De même, vous aussi, lorsque vous verrez arriver cela, sachez que le royaume de Dieu est proche. Amen, je vous le dis : cette génération ne passera pas sans que tout cela n’arrive. Le ciel et la terre passeront, mes paroles ne passeront pas. »
Le ciel et la terre passeront, mes paroles ne passeront pas. Lc 21, 33
Si Je voulais te décrire la puissance, les grâces et le bien que portent mes Paroles, qui sait combien de livres tu aurais à écrire !
Le livre du Ciel Tome 14, 24 novembre 1922
Ma fille, la perversité et la dureté de cœur d’Hérode étaient telles qu’il ne méritait pas que Je le regarde ou que Je lui dise un seul mot. Au contraire, si Je l’avais fait, il aurait été encore plus coupable parce que chacune de mes Paroles établit un lien additionnel, une union plus grande, un rapprochement plus grand entre Moi et la créature. Quand une âme sent mon Regard, la grâce commence à agir. Si mon Regard ou ma Parole sont doux et bénéfiques, alors l’âme se dit : Comme Il est beau, pénétrant, tendre, mélodieux ! Comment ne pas l’aimer ? » Si mon Regard ou ma Parole sont empreints de majesté, resplendissants de lumière, l’âme dit : « Quelle majesté, quelle grandeur, quelle lumière pénétrante. Comme je me sens petite, misérable et dans la noirceur comparée à cette lumière resplendissante ! » Si Je voulais te décrire la puissance, les grâces et le bien que portent mes Paroles, qui sait combien de livres tu aurais à écrire ! Vois tout le bien que Je t’ai fait en te regardant tant de fois, en poursuivant avec toi de si intimes conversations. Je ne me suis pas contenté de quelques paroles avec toi. Non, Je t’ai servi des exposés complets. Il s’ensuit que les liens entre toi et moi sont innombrables. Je t’ai traitée comme un maître traite ses disciples. Quand quelqu’un d’autre qu’un disciple lui demande des conseils, l’enseignant se contente de quelques mots. Mais, souhaitant faire de ses disciples des enseignants comme lui, il leur consacre des jours entiers, leur parle longuement et les guide toujours.
Correspondances dans « L’évangile tel qu’il m’a été révélé » de Maria Valtorta :
Je viendrai. Je n‘aurai pas une nouvelle chair puisque la mienne est déjà parfaite. J’évangéliserai, non pas comme je le fis autrefois, mais avec une force nouvelle, parce qu’alors les bons ne seront pas humainement bons comme l’étaient les disciples lors de ma première venue, mais ils seront spirituellement bons, et les méchants seront spirituellement méchants, sataniquement mauvais, parfaitement mauvais. La forme sera donc conforme aux circonstances, car si j’utilisais la forme d’il y a vingt siècles, elle serait dépassée pour ceux qui sont parfaits dans le bien, et ce serait offrir aux sataniques le moyen de porter une offense qu’il n’est pas permis de porter au Verbe glorifié. Comme un filet aux mailles fines, je traînerai derrière ma Lumière ceux qui auront atteint la subtilité spirituelle, mais ceux que l’union de la chair avec Satan rend lourds, les morts de l’esprit que la pourriture de l’âme tient enfoncés dans la boue, n’entreront pas dans ma Lumière et finiront de se corrompre dans l’union avec le Mal et les Ténèbres. Pour le moment, je prépare les temps futurs en employant en particulier la Parole qui descend des cieux pour donner la lumière aux âmes prêtes à la recevoir. Je fais de vous les radiotéléphonistes occupés à écouter attentivement l’enseignement qui est parfait et que j’avais déjà donné et que je ne change pas, car il n’y a qu’Une Vérité. […] Je le fais car j’ai pitié de l’Humanité qui se meurt sans le pain de l’esprit. Ainsi que je me suis donné comme Pain de votre âme, je vous offre maintenant ma Parole comme pain de votre esprit. Et je répète : ‘Bienheureux ceux qui écoutent la parole de Dieu et l’observent’. ” Les cahiers de 1943, le 16 août