Mercredi 26 novembre 2025 - Missionnaires de la Divine Volonté
De l’Évangile de Luc 21, 12-19
En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples : « On portera la main sur vous et l’on vous persécutera ; on vous livrera aux synagogues et aux prisons, on vous fera comparaître devant des rois et des gouverneurs, à cause de mon nom. Cela vous amènera à rendre témoignage. Mettez-vous donc dans l’esprit que vous n’avez pas à vous préoccuper de votre défense. C’est moi qui vous donnerai un langage et une sagesse à laquelle tous vos adversaires ne pourront ni résister ni s’opposer. Vous serez livrés même par vos parents, vos frères, votre famille et vos amis, et ils feront mettre à mort certains d’entre vous. Vous serez détestés de tous, à cause de mon nom. Mais pas un cheveu de votre tête ne sera perdu. C’est par votre persévérance que vous garderez votre vie. » 

 

Mettez-vous donc dans l’esprit que vous n’avez pas à vous préoccuper de votre défense. Lc 21, 14
Je reste sur terre, comme vie, en soutien et défense pour tous mes frères et sœurs.
Le livre du Ciel Tome 35, 24 janvier 1938
Après quoi je continuais à penser aux prodiges du divin Vouloir et mon bien-aimé Jésus ajouta : Fille de ma Volonté, comme l’a dit ton Jésus, en descendant du Ciel sur la terre, « Je m’en vais et je reste » ; et lorsqu’il est monté au Ciel, il a dit, « Je reste et je m’en vais ». Ma parole répète, en descendant comme Sacrement dans les créatures, « Je m’en vais et je reste dans les Tabernacles ». De la même manière, la créature qui vit dans ma Volonté peut répéter ma parole dans tous ses actes. Dès qu’elle commence son acte, son Jésus est formé dans cet acte. Ma vie a la vertu de se multiplier à l’infini aussi souvent que je le veux. Par conséquent,
en toute vérité, elle peut dire: Je m’en vais et je reste. Je m’en vais au ciel pour le béatifier, pour atteindre ma Patrie et faire connaître à tous mon cher Jésus que j’ai enfermé dans mon acte afin que tous puissent profiter de sa présence et l’aimer. Je reste sur terre, comme vie, en
soutien et défense pour tous mes frères et sœurs. Que de beautés dans un acte accompli dans ma Volonté !


Correspondances dans « L’évangile tel qu’il m’a été révélé » de Maria Valtorta :
Redécouvrir le vrai sens de la prière et des pratiques religieuses:
Jésus dit :
[…] Votre injuste réprimande monte à mon trône et, si le péché m’offense comme une souillure lancée à ma sublimité, votre reproche immérité et irrespectueux est comme une fumée qui m’importune et qui me force à m’éloigner toujours plus de vous pour la fuir.
Avez-vous prié ? Avez-vous fréquenté les églises ? Avez-vous jeûné ? Avez-vous évité de tuer et de voler ? Et alors ? Qu’avez-vous fait de plus que votre strict devoir ? Et comment l’avez-vous fait ?
Comment avez-vous prié et pourquoi ? Mal, l’âme absente ou l’âme salie par la haine, et presque toujours pour vos intérêts personnels et donc égoïstes. Votre prière était donc dissociée de la charité. Comment voulez-vous avoir pu me l’offrir si vous n’avez pas le calice en or pour l’y mettre et l’élever vers mon trône ?
Avez-vous fréquenté l’église ? Comment et pourquoi ? Par habitude, par hypocrisie, pour les commérages. Que de commérages, même dans le saint temple de votre Dieu, devant moi qui suis anéanti dans le sacrement d’amour pour vous enseigner à quel dévouement vous devez parvenir pour être agréables à l’Eternel et utiles à vos frères et sœurs !
Avez-vous jeûné ? Hélas, vos jeûnes, quand vraiment vous en fai­tes, sont si minces, non pour ce qui est de la quantité, mais de la spi­ritualité ! Vous vous refusez un morceau de pain et puis vous contentez votre gourmandise en vous accordant le superflu. Vos jeûnes sont faits sans volonté d’amour, mais seulement par peur de la punition divine. Mais ne savez-vous pas qu’il vaut mieux se priver d’un mot dur que d’un somptueux repas ?  Les Cahiers de 1943, 1 octobre