En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples : « Comme cela s’est passé dans les jours de Noé, ainsi en sera-t-il dans les jours du Fils de l’homme. On mangeait, on buvait, on prenait femme, on prenait mari, jusqu’au jour où Noé entra dans l’arche et où survint le déluge qui les fit tous périr. Il en était de même dans les jours de Loth : on mangeait, on buvait, on achetait, on vendait, on plantait, on bâtissait ; mais le jour où Loth sortit de Sodome, du ciel tomba une pluie de feu et de soufre qui les fit tous périr ; cela se passera de la même manière le jour où le Fils de l’homme se révélera. En ce jour-là, celui qui sera sur sa terrasse, et aura ses affaires dans sa maison, qu’il ne descende pas pour les emporter ; et de même celui qui sera dans son champ, qu’il ne retourne pas en arrière. Rappelez-vous la femme de Loth. Qui cherchera à conserver sa vie la perdra. Et qui la perdra la sauvegardera. Je vous le dis : Cette nuit-là, deux personnes seront dans le même lit : l’une sera prise, l’autre laissée. Deux femmes seront ensemble en train de moudre du grain : l’une sera prise, l’autre laissée. » Prenant alors la parole, les disciples lui demandèrent : « Où donc, Seigneur ? » Il leur répondit : « Là où sera le corps, là aussi se rassembleront les vautours. »
Le jour où Loth sortit de Sodome, du ciel tomba une pluie de feu et de soufre qui les fit tous périr ; cela se passera de la même manière le jour où le Fils de l’homme se révélera.Lc 17, 29
Des villes entières détruites, des révoltes, le retrait de ma grâce pour ceux qui font le mal […] Afin de pouvoir vivre en toute confiance, tu dois t’appuyer sur deux colonnes.
Le livre du Ciel Tome 9, 29 juillet 1910
« Ma fille, ne te trouble pas. Ne t’ai je pas dis, il y a plusieurs années, que pour pouvoir châtier le monde, Je ne me déchargerais pas aussi souvent sur toi et que, par conséquent, Je ne viendrais pas aussi souvent qu’auparavant, bien que jamais Je ne t’abandonnerai. Je t’ai dit de plus que, pour suppléer à mes fréquents va-et-vient, Je permettrais pour toi la Messe et la Communion à tous les jours afin que tu puisses y puiser la Force que tu recevais auparavant par mes visites continuelles. J’en suis même venu à menacer ton confesseur s’il ne se prêtait pas à cela. Qui ne connaît pas les châtiments qui sont arrivés depuis ? Des villes entières détruites, des révoltes, le retrait de ma grâce pour ceux qui font le mal et aussi pour les mauvais religieux, de sorte que ce poison, ces plaies qu’ils ont à l’intérieur, puisse sortir à l’extérieur. Ah ! Je ne peux plus en prendre, les sacrilèges sont énormes. Pourtant, tout cela n’est rien comparé aux châtiments à venir. Si je ne t’avais pas déjà parlé ainsi, tu aurais un peu raison de t’alarmer. Afin de pouvoir vivre en toute confiance, tu dois t’appuyer sur deux colonnes. L’une d’elle est ma Volonté. En elle, il ne peut y avoir de péchés. Ma Volonté réduit en miettes toutes les passions et tous les péchés, que dis-je, elle les pulvérise au point de détruire leurs racines. Si tu t’appuies sur la colonne de ma Volonté, les ténèbres se transforment en lumière, les doutes en certitudes, les espoirs en réalités. La deuxième colonne sur laquelle t’appuyer est la ferme volonté et l’attention constante à ne pas m’offenser, même légèrement, en disposant ta volonté à tout souffrir, à tout affronter et à se soumettre à tout plutôt que de me déplaire.Quand l’âme est continuellement appuyée sur ces colonnes, que dis je, quand ces colonnes sont pour elle plus que sa propre vie, elle peut vivre avec plus de confiance que si elle vivait avec mes faveurs continuelles, d’autant plus que Je permets aussi cet état pour te préparer à quitter cette terre. »
Correspondances dans « L’évangile tel qu’il m’a été révélé » de Maria Valtorta :
Il en sera de la venue du Fils de l’homme comme au temps de Noé. Dans les jours qui précédèrent le déluge, les hommes mangeaient, buvaient, se mariaient, sans réfléchir au signe, jusqu’au jour où Noé entra dans l’arche ; alors s’ouvrirent les cataractes du ciel et le déluge submergea tous les vivants et toutes choses. Il en sera de même à la venue du Fils de l’homme. Deux hommes seront l’un près de l’autre dans un champ : l’un sera pris, l’autre laissé ; deux femmes seront appliquées à faire marcher la meule : l’une sera prise, l’autre laissée, par les ennemis de la patrie et plus encore par les anges qui sépareront la bonne semence de l’ivraie, et ils n’auront pas le temps de se préparer au jugement du Christ.
Veillez donc, car vous ne savez pas à quelle heure viendra votre Seigneur. Réfléchissez : si le chef de famille savait à quelle heure vient le voleur, il veillerait et ne laisserait pas dépouiller sa maison. Veillez donc et priez, en étant toujours préparés à sa venue, sans que vos cœurs tombent dans la torpeur par des abus et des excès de toutes sortes ; que vos âmes ne soient pas éloignées et fermées aux affaires du Ciel par le souci excessif des réalités de la terre, et que le lacet de la mort ne vous prenne pas à l’improviste quand vous ne serez pas préparés. Car, rappelez-vous, tous vous devez mourir. Tous les hommes, dès leur naissance, sont destinés à la mort. Cette mort et le jugement subséquent sont une venue particulière du Christ, qui devra se répéter pour tous les hommes à la venue solennelle du Fils de l’homme. Tome 9 – ch 596.48