De l’Évangile de Luc 8, 16-18
En ce temps-là, Jésus disait aux foules : « Personne, après avoir allumé une lampe, ne la couvre d’un vase ou ne la met sous le lit ; on la met sur le lampadaire pour que ceux qui entrent voient la lumière. Car rien n’est caché qui ne doive paraître au grand jour ; rien n’est secret qui ne doive être connu et venir au grand jour. Faites attention à la manière dont vous écoutez. Car à celui qui a, on donnera ; et à celui qui n’a pas, même ce qu’il croit avoir sera enlevé. »
Rien n’est secret qui ne doive être connu et venir au grand jour. Lc 8, 17
Quand on dévoile des secrets d’une certaine importance…
Le livre du Ciel Tome 19, 1 Août 1926
Maintenant, ma fille, t’ayant montré l’aboutissement de mon amour contenu, Je veux
commencer à te donner ce que Je détenais en Moi, en te communiquant le grand secret du Règne de ma Volonté, en te donnant les biens qu’IL contient. Quand on dévoile des secrets d’une certaine importance, celui ci étant le plus important de toute l’histoire de la Création, on met de côté les distractions, les baisers, les caresses, d’autant plus que le travail, dans le Règne de la Suprême Volonté, est surabondant et le plus immense qui puisse exister dans l’histoire du monde. Le fait de te faire partager mon secret, dépasse tous les amours réunis, car, dans le secret, on engage sa propre vie et ses propres biens; dans le secret Il y a la confiance, l’expectative; trouves tu dérisoire que ton Jésus ait confiance en toi, que tu sois l’objet de son espoir ? Mais pas n’importe quels confiance et espoir, la confiance de te confier le Règne de ma Volonté, l’espoir que tu puisses mettre en sécurité ses droits, que tu Le fasses
connaître. T’ayant confié le secret de ma Volonté, Elle devient la partie essentielle de la Vie Divine et Je ne saurais te donner chose plus grande que celle-ci.

Correspondances dans « L’évangile tel qu’il m’a été révélé » de Maria Valtorta :
J’ai dit également que vous étiez une lumière. Quand, le soir, on allume une lampe dans la maison, où la met-on ? Dans un trou, sous le four ? Dans la grotte qui sert de cave ? Ou renfermée dans un coffre ? Ou tout simplement la cache-t-on sous le boisseau ? Non, parce qu’il serait alors inutile de l’allumer. Mais on pose la lampe sur une console ou bien on l’accroche à un support élevé pour que, de là-haut, elle éclaire toute la pièce et tous ceux qui s’y trouvent. Mais puisque la lampe que l’on place en hauteur est chargée de rappeler Dieu et de donner de la lumière, elle doit être à la hauteur de son devoir.
Vous qui devez rappeler le vrai Dieu, faites en sorte de ne pas avoir en vous le paganisme aux sept éléments. Autrement, vous deviendriez des hauts lieux profanes avec des bois sacrés, dédiés à tel ou tel dieu et vous entraîneriez dans votre paganisme ceux qui voient en vous des temples de Dieu. Vous devez porter la lumière de Dieu. Une lampe sale, une lampe qui n’est pas garnie d’huile, fume et ne donne pas de lumière, elle sent mauvais et n’éclaire pas. Une lampe cachée derrière un tube de quartz sale ne crée pas l’éclat gracieux, le jeu brillant de la lumière sur le minéral propre, mais elle reste faible derrière le voile de fumée noire qui rend opaque son abri cristallin. Tome 3 – ch 169.7