DIMANCHE, 14 SEPTEMBRE 2025, année C - Missionnaires de la Divine Volonté

FÊTE DE LA CROIX GLORIEUSE

 

Nb 21, 4b-9 ; Ps 77 ; Ph 2, 5b-11 ;
Jean 3, 13-17
En ce temps-là, Jésus disait à Nicodème : « Nul n’est monté au ciel sinon celui qui est descendu du ciel, le Fils de l’homme. De même que le serpent de bronze fut élevé par Moïse dans le désert, ainsi faut-il que le Fils de l’homme soit élevé, afin qu’en lui tout homme qui croit ait la vie éternelle. Car Dieu a tellement aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne se perde pas, mais obtienne la vie éternelle. Car Dieu a envoyé son Fils dans le monde, non pas pour juger le monde, mais pour que, par lui, le monde soit sauvé. »

 

Commentaire du père Jean-Jacques :

 

« Nul n’est monté au ciel sinon celui qui est descendu du ciel,
Le Fils de l’homme ».
Cette fête de la Croix Glorieuse nous fait entrer dans la joie de l’espérance. Elle rappelle : « le serpent de bronze » que Moïse avait dressé dans le désert. (Première lecture). « En le regardant, ils avaient la vie » (Nb21,4).
 L’Évangile proclame : « le grand amour de Dieu », comme la seule raison du don du Fils qui a revêtu notre humanité pour nous sauver de la mort et du péché. Il a été « élevé entre le ciel et la terre » et continue d’attirer à Lui chacun d’entre nous. Il a créé un pont entre l’homme et Dieu pour nous réunir tous avec Lui, et Il ne veut perdre aucun d’entre-nous.
 Élevé sur la Croix, le Christ donne la « vie éternelle » à tous ceux qui croiront en Lui. Dans son obstination amoureuse à nous sauver tous, Il a voulu s’exposer crucifié, et guérir les blessures de notre péché.
Il ouvre ses bras éternellement, et laisse couler « son pardon » comme un fleuve vivifiant répandu sur toute la terre.
Aujourd’hui, devant la Croix Glorieuse, nous crions un amour sans limite de Jésus-Christ, et nous exultons de reconnaissance devant la face du Père.
       Prions pour toute l’humanité sauvée par la Croix du Fils de Dieu, et demandons davantage de témoins du Christ Sauveur !

 

  Père Jean-Jacques Duten