VENDREDI 15 AOÛT 2025 - Missionnaires de la Divine Volonté

ASSOMPTION DE LA VIERGE MARIE

la fête de l’Assomption est la plus belle parce que c’est la fête de ma Volonté opérante dans cette grande Dame, ce qui l’a rendue si riche et si belle que les cieux sont incapables de la contenir. Les anges eux-mêmes en restent muets et ne savent comment parler de ce que ma Volonté accomplit dans la créature. 15 août 1938
De l’Évangile de Luc 1, 39-56
En ces jours-là, Marie se mit en route et se rendit avec empressement vers la région montagneuse, dans une ville de Judée. Elle entra dans la maison de Zacharie et salua Élisabeth. Or, quand Élisabeth entendit la salutation de Marie, l’enfant tressaillit en elle. Alors, Élisabeth fut remplie d’Esprit Saint, et s’écria d’une voix forte : « Tu es bénie entre toutes les femmes, et le fruit de tes entrailles est béni. D’où m’est-il donné que la mère de mon Seigneur vienne jusqu’à moi ? Car, lorsque tes paroles de salutation sont parvenues à mes oreilles, l’enfant a tressailli d’allégresse en moi. Heureuse celle qui a cru à l’accomplissement des paroles qui lui furent dites de la part du Seigneur. » Marie dit alors : « Mon âme exalte le Seigneur, exulte mon esprit en Dieu, mon Sauveur ! Il s’est penché sur son humble servante ; désormais tous les âges me diront bienheureuse. Le Puissant fit pour moi des merveilles ; Saint est son nom ! Sa miséricorde s’étend d’âge en âge sur ceux qui le craignent. Déployant la force de son bras, il disperse les superbes. Il renverse les puissants de leurs trônes, il élève les humbles. Il comble de biens les affamés, renvoie les riches les mains vides. Il relève Israël son serviteur, il se souvient de son amour de la promesse faite à nos pères, en faveur d’Abraham et sa descendance à jamais. » Marie resta avec Élisabeth environ trois mois, puis elle s’en retourna chez elle. 

 

Tu es bénie entre toutes les femmes, et le fruit de tes entrailles est béni. Lc 1, 42
C’est ma Volonté qui lui a conféré la fécondité divine et a fait d’elle la Mère du Verbe.

 

Le livre du Ciel Tome 18, 15 août 1925
Trois fois sainte est celle qui laisse cette Volonté suprême opérer en elle ! » Par-dessus tout, c’est ma Volonté qui est célébrée en la fête de l’Assomption de ma très sainte Mère. C’est ma Volonté qui a élevé ma Mère à une telle hauteur. Tout ce qui aurait pu lui arriver n’aurait été
rien sans les prodiges que ma Volonté opérait en elle. C’est ma Volonté qui lui a conféré la fécondité divine et a fait d’elle la Mère du Verbe. C’est ma Volonté qui l’a fait embrasser toutes les créatures, devenir la Mère de tous et aimer chacun d’un amour maternel divin. C’est ma Volonté qui l’a faite Reine de toutes les créatures. Quand ma Mère est arrivée au Ciel au jour de l’Assomption, ma Volonté fut grandement honorée et glorifiée pour l’ensemble de la Création et une grande fête, qui n’a cessé depuis, débuta dans le Ciel. Bien que le Ciel avait déjà été ouvert par moi et bien que de nombreux saints s’y trouvaient déjà, c’est quand la Reine céleste, ma bien aimée Mère, arriva au Ciel que commença cette grande fête de ma Volonté. Ma Mère fut la cause première de cette fête, elle en qui ma Volonté avait accompli tant de prodiges et qui l’avait si parfaitement observée pendant toute sa vie
terrestre. Oh ! Comme tout le Ciel loua la Volonté éternelle quand parut au milieu de la cour céleste cette sublime Reine tout auréolée de la lumière du Soleil de la Divine Volonté ! On la vit toute parée de la puissance du suprême Fiat, puisqu’il n’y avait pas un seul battement
de son cœur sur lequel ce Fiat n’était imprimé. Étonnés, tous les êtres célestes la regardaient en disant : « Monte, monte encore plus haut ! Il est juste que celle qui a tant honoré le suprême Fiat par lequel nous nous trouvons nous-mêmes dans la Patrie céleste, ait le trône le plus élevé et qu’elle soit notre Reine ! » Le plus grand honneur qu’elle reçut ce jour-là fut que la Divine Volonté était honorée par elle. »


Correspondances dans « L’évangile tel qu’il m’a été révélé » de Maria Valtorta :
Solennité de l’Assomption de la Vierge Marie
[Marie dit : ]
« Quand les anges m’enlevèrent de la petite maison, mon esprit était-il déjà revenu en moi ?
Non. Mon esprit ne devait plus redescendre sur la terre.
Il était en adoration devant le trône de Dieu. Mais quand la terre, l’exil, le temps et le lieu de la séparation d’avec mon Seigneur un et trine furent abandonnés pour toujours, mon esprit revint resplendir au centre de mon âme en tirant la chair de sa dormition. Il est donc juste de dire que je suis montée au Ciel en corps et en âme, non par mes propres moyens, comme ce fut le cas pour Jésus, mais avec l’aide des anges.
Je me suis réveillée de cette mystérieuse et mystique dormition, je me suis levée, j’ai volé enfin parce que ma chair avait obtenu la perfection des corps glorifiés. Et j’ai aimé. J’ai aimé mon Fils retrouvé et mon Seigneur un et trine, je l’ai aimé comme c’est le destin de tous les éternels vivants. » […]
« La conception de mon Fils fut une extase, le mettre au jour une plus grande extase. Mais l’extase des extases fut mon passage de la terre au Ciel. C’est seulement durant la Passion qu’aucune extase ne rendit supportable mon atroce souffrance.
La maison d’où je suis montée au Ciel était l’une des innombrables générosités de Lazare, pour Jésus et sa Mère. La petite maison de Gethsémani, près du lieu de son Ascension. Inutile d’en chercher les restes : dans la destruction de Jérusalem par les Romains, elle fut dévastée et ses ruines furent dispersées au cours des siècles. »
L’Évangile tel qu’il m’a été révélé, ch 651.4 et 651.7-8