Vendredi 25 juillet 2025 - Missionnaires de la Divine Volonté

SAINT JACQUES LE MAJEUR – FILS DE ZÉBÉDÉE ET FRÈRE DE SAINT JEAN

 

De l’Évangile de Matthieu 20, 20-28
En ce temps-là, la mère de Jacques et de Jean, fils de Zébédée, s’approcha de Jésus avec ses fils Jacques et Jean, et elle se prosterna pour lui faire une demande. Jésus lui dit : « Que veux-tu ? » Elle répondit : « Ordonne que mes deux fils que voici siègent, l’un à ta droite et l’autre à ta gauche, dans ton Royaume. » Jésus répondit : « Vous ne savez pas ce que vous demandez. Pouvez-vous boire la coupe que je vais boire ? » Ils lui disent : « Nous le pouvons. » Il leur dit : « Ma coupe, vous la boirez ; quant à siéger à ma droite et à ma gauche, ce n’est pas à moi de l’accorder ; il y a ceux pour qui cela est préparé par mon Père. » Les dix autres, qui avaient entendu, s’indignèrent contre les deux frères. Jésus les appela et dit : « Vous le savez : les chefs des nations les commandent en maîtres, et les grands font sentir leur pouvoir. Parmi vous, il ne devra pas en être ainsi : celui qui veut devenir grand parmi vous sera votre serviteur ; et celui qui veut être parmi vous le premier sera votre esclave. Ainsi, le Fils de l’homme n’est pas venu pour être servi, mais pour servir, et donner sa vie en rançon pour la multitude. » 

 

Ainsi, le Fils de l’homme n’est pas venu pour être servi, mais pour servir, et donner sa vie en rançon pour la multitude. Mt 20, 28
Lorsque c’est mon amour qui paye, sa valeur est telle qu’il peut payer pour tous et racheter tout ce qu’il veut.

 

Le livre du Ciel Tome 35, 25 décembre 1937
Sache que celle qui vit dans ma Volonté reçoit les greffes continuelles de tout ce que fait mon Humanité. Si je pense, je greffe ses pensées ; si je parle et prie, je greffe sa parole ; si je travaille, je greffe ses mains, je ne fais rien qui ne forme une greffe pour la créature, pour faire d’elle la répétition de ma vie ; plus encore, étant donné que ma Divine Volonté est en elle et que je peux trouver ma puissance, ma sainteté et ma vie même pour faire tout ce que je veux avec elle. Combien de prodiges ne puis-je pas faire lorsque je trouve ma Volonté dans la créature ! Je suis venu sur terre pour couvrir toutes choses de mon amour, pour noyer tous les maux et tout brûler de mon amour. En toute justice, je voulais payer de retour mon Père, car il était juste qu’il fût restauré dans son honneur, dans la gloire, dans l’amour et dans la gratitude que tous lui devaient, c’est pourquoi mon amour ne pouvait trouver de paix. Il a rempli les vides de sa gloire et de son honneur au point que, par l’amour, il paya de retour la Divinité qui avait créé un ciel, un soleil, un vent, une mer, une floraison et tout le reste, alors que l’homme n’avait pas encore murmuré même un seul « Merci » pour tous les biens qu’il avait reçus. L’homme avait été le vrai voleur, l’ingrat, l’usurpateur de nos biens. Mon amour
a couru afin de remplir les abysses de distance entre le Créateur et la créature. Il a payé mon céleste Père avec l’amour, et c’est avec l’amour qu’il a racheté les générations humaines pour leur rendre la vie de ma Divine Volonté, ayant déjà formé avec elle de nombreuses vies en
rançon. Et lorsque c’est mon amour qui paye, sa valeur est telle qu’il peut payer pour tous et racheter tout ce qu’il veut. Par conséquent, tu as déjà été rachetée par mon amour ; alors, laisse-moi t’aimer et te posséder.


Correspondances dans « L’évangile tel qu’il m’a été révélé » de Maria Valtorta :

 

Misérables humains chez qui le péché a émoussé l’esprit au point qu’il ne peut plus comprendre l’harmonie des choses universelles, lesquelles chantent les louanges du Dieu Créateur et parlent de lui et lui obéissent avec un amour que je cherche en vain chez les humains.
Cessez d’errer en vain à la poursuite de tant de savoir humain, de tant d humaines convoitises. Et venez à moi.
Ma Croix est là pour quelque chose, bien haute au-dessus du monde. Regardez-la, cette croix sur laquelle un Dieu s’immole pour vous et, si vous avez des entrailles d’humains et non de brutes, réglez votre comportement en proportion à mon amour pour vous.
Je ne vous ai pas donné ma vie pour que vous continuiez à perdre la vôtre. Je vous l’ai donnée pour que vous ayez la vie. Mais vous devez vouloir cette vie éternelle et agir en conséquence, et non rivaliser avec les animaux les plus immondes en vivant dans la fange.
Souvenez-vous que vous possédez un esprit. Souvenez-vous que l’esprit est éternel. Souvenez-vous qu’un Dieu est mort pour votre esprit. Vous avez peur d’un malheur qui ne dure que peu de temps, mais vous ne craignez pas l’horreur de la damnation dont les tourments n ont pas de fin.
Revenez sur le chemin de la Vie, pauvres enfants. Celui qui vous aime vous en conjure.
Et à toi qui écoutes et écris, j’enseigne, pour que tu l’enseignes à ton tour à tes frères et soeurs, le moyen sûr de venir à moi.
Les cahiers de 1943, le 13 octobre.