Vendredi 20 juin 2025 - Missionnaires de la Divine Volonté
De l’Évangile de Matthieu 6, 19, 23
En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples : « Ne vous faites pas de trésors sur la terre, là où les mites et les vers les dévorent, où les voleurs percent les murs pour voler. Mais faites-vous des trésors dans le ciel, là où il n’y a pas de mites ni de vers qui dévorent, pas de voleurs qui percent les murs pour voler. Car là où est ton trésor, là aussi sera ton cœur. La lampe du corps, c’est l’œil. Donc, si ton œil est limpide, ton corps tout entier sera dans la lumière ; mais si ton œil est mauvais, ton corps tout entier sera dans les ténèbres. Si donc la lumière qui est en toi est ténèbres, comme elles seront grandes, les ténèbres ! » 

 

 Faites-vous des trésors dans le ciel…Mt 6, 20
La Volonté de Dieu est l’unique clef ouvrant les trésors divins et donnant à l’âme la familiarité dans la Maison de Dieu…

 

Le livre du Ciel Tome 7, Juillet 1906
Ayant reçu la sainte communion, je me sentais dans une union très intime avec mon bien aimé Jésus. Pendant qu’il m’embrassait, je reposais en lui et lui en moi. Après quelque temps, il me dit : « Ma très chère, l’âme qui vit dans ma Volonté se repose parce que la Divine Volonté fait tout pour elle. Moi, pendant que je travaille pour elle, je trouve aussi mon plus grand repos. Ainsi, la Divine Volonté est le repos pour Dieu et pour l’âme. Pendant que l’âme se repose dans ma Volonté, elle est toujours attachée à ma bouche, recevant la Vie divine qui constitue sa continuelle nourriture. « La Volonté de Dieu est le paradis de l’âme sur la terre et l’âme qui vit dans la Divine Volonté est le Paradis de Dieu. La Volonté de Dieu est l’unique clef ouvrant les trésors divins et donnant à l’âme la familiarité dans la Maison de Dieu, comme si elle en était la propriétaire. » Qui pourrait dire tout ce que j’ai compris concernant la Divine Volonté ? Ô Divine Volonté, comme tu es admirable, aimable, désirable et belle ! Me trouver en toi me fait ressentir la perte de mes propres misères et de tous mes
maux. Par toi, je deviens un être nouveau ,muni de tous les biens divins.


Correspondances dans « L’évangile tel qu’il m’a été révélé » de Maria Valtorta :

 

Jésus dit :
« Moi, le Seigneur un et trine, je sais combien les hommes oublient facilement lois et bienfaits. C’est pourquoi j’ai remplacé une Loi et une Alliance, écrites et conservées sur des objets morts, la pierre et le bois – même recouvert d’or, cela reste toujours du bois – par une Loi et une Alliance écrites sur une Chair et un Sang divins et conservés, toujours aussi vivants que quand ils ont servi pour l’Alliance avec le ciel, dans un tabernacle. Malgré sa petitesse, ce dernier a l’immensité du ciel, car il le contient tout entier et, comme il est innombrable puisqu’il fleurit sur toute la terre, il témoigne de l’omniprésence de Dieu.
Mais tant de bonté prévoyante n’a pas suffi à transformer “ceux qui sont tout sauf mes enfants” en enfants fidèles. De plus en plus, vous êtes devenus la race dépravée et perverse dont Moïse parle. Aujourd’hui, personne ne lit et ne médite ce cantique à moins d’y être obligé par ses études ou par sa mission sacerdotale. Vous avez tort. Vous devriez le lire et le méditer, et vous dire en vous frappant la poitrine : “C’est nous, ce peuple insensé, ce peuple sans reconnaissance qui, après avoir reçu les bienfaits de Dieu, a regimbé comme une mule opiniâtre et a abandonné son Seigneur, ce peuple qui s’est permis – et continue sur cette voie – de provoquer son Dieu en remplaçant son culte par des cultes idolâtres et sacrilèges et en adorant Satan sous ses diverses manifestations. C’est pourquoi l’Eternel nous a châtiés. Et il ne cessera de nous châtier tant que le nombre des bons ne sera pas au moins égal à celui des mauvais.”
Créatures rebelles, vous ne devez pas non plus aller jusqu’à penser : “Eh bien, je vais attendre que les autres deviennent bons et prêcher qu’ils devraient le devenir.” Non. Que chacun, sans se préoccuper du voisin, cherche par lui-même à devenir bon, comme Dieu le veut. Ensuite, quand il le sera devenu, qu’il parle au nom de Dieu pour en exhorter d’autres à le devenir. Mais qu’il commence par se purifier lui-même dans la souffrance et l’amour.
Que chacun fasse de lui-même une hostie pour Dieu. La terre, cet autel contaminé, a besoin d’être sanctifiée à nouveau avant de pouvoir redevenir un autel cher au Seigneur.
Que la souffrance soit holocauste pour le péché, et l’amour holocauste pour le sacrifice de la paix. Mais que l’amour commence par naître en vous. Sans lui, vous ne pourriez me posséder, moi, qui suis l’Amour l’éternel, celui qui suscite toute action ou pensée surnaturelles. L’amour vous poussera à la contrition, la contrition vous rendra à Dieu ; alors, de nouveau unis à lui, vous pourrez vous offrir vous-mêmes de toute votre âme, de tout votre esprit, de tout votre cœur et de toutes vos forces, comme le dit la Loi, à celui qui doit être aimé plus que tout et sans limite.
Je suis l’Amour qui parle. Je suis l’Amour qui bénit. C’est moi qui te bénis. »
Les Cahiers de 1944, 24 mai