Dimanche 1er juin 2025 - Missionnaires de la Divine Volonté

FÊTE DE SAINT HANNIBAL MARIA DI FRANCIA-Canonisé le 16 mai 2004 par Saint-Jean-Paul II

Crois-tu que la venue du Père Maria di Francia, qui témoigne tant d’intérêt et qui a pris à cœur la publication de ce qui concerne ma Volonté, soit arrivée par hasard ? Non, non – je l’ai moi-même organisée. C’est un acte providentiel de la Suprême Volonté qui le veut comme premier Apôtre et programmateur du Divin Fiat. Et comme il se trouve être le fondateur d’un Ordre, il est plus facile pour lui de contacter les Évêques, les prêtres et les gens, et également dans son propre Institut, afin de proclamer le Royaume de ma Volonté. C’est pourquoi Je l’aide tellement et que Je lui donne une lumière spéciale, parce que pour comprendre ma Volonté, il faut de grandes grâces – pas de petites lumières, mais un soleil pour comprendre une Volonté Divine, Sainte et Éternelle, de même qu’une grande disposition de la part de celui à qui est confié cette charge. C’est Moi également qui ai organisé la venue quotidienne du prêtre afin de pouvoir trouver rapidement les premiers Apôtres du Fiat de mon Royaume, et qu’ils puissent proclamer ce qui concerne ma Volonté Éternelle. Vol 20, 6 novembre 1926

 

De l’Évangile de Jean 17, 20-26
En ce temps-là, les yeux levés au ciel, Jésus priait ainsi : « Père saint, je ne prie pas seulement pour ceux qui sont là, mais encore pour ceux qui, grâce à leur parole, croiront en moi. Que tous soient un, comme toi, Père, tu es en moi, et moi en toi. Qu’ils soient un en nous, eux aussi, pour que le monde croie que tu m’as envoyé. Et moi, je leur ai donné la gloire que tu m’as donnée, pour qu’ils soient un comme nous sommes UN : moi en eux, et toi en moi. Qu’ils deviennent ainsi parfaitement un, afin que le monde sache que tu m’as envoyé, et que tu les as aimés comme tu m’as aimé. Père, ceux que tu m’as donnés, je veux que là où je suis, ils soient eux aussi avec moi, et qu’ils contemplent ma gloire, celle que tu m’as donnée parce que tu m’as aimé avant la fondation du monde. Père juste, le monde ne t’a pas connu, mais moi je t’ai connu, et ceux-ci ont reconnu que tu m’as envoyé. Je leur ai fait connaître ton nom, et je le ferai connaître, pour que l’amour dont tu m’as aimé soit en eux, et que moi aussi, je sois en eux. » 

 

Que tous soient un, comme toi, Père, tu es en moi, et moi en toi. Qu’ils soient un en nous. Jn 17, 21
Nous sommes toujours un… nous voyons toujours l’homme comme s’il n’y en avait qu’un seul.

 

Le livre du Ciel Tome 25, 25 décembre 1928
Ma fille, Adam fut le premier soleil humain revêtu de notre Volonté, et ses actes étaient plus que des rayons de soleil qui, en s’étendant et en se répandant, devaient revêtir toute la
famille humaine en qui ils devaient être nombreux à palpiter dans ces rayons, tous au centre de ce premier soleil humain. Et tous devaient avoir la vertu de former leur propre soleil sans sortir des limites du premier soleil. En fait, comme la vie de chacun devait tirer son origine
de ce soleil, chacun devait pouvoir être un soleil à lui seul. Comme elle était belle la création de l’homme. Oh ! combien elle surpassait celle de l’univers entier. Le lien, l’union de l’un dans la multitude était le plus grand prodige de notre omnipotence, alors que notre Volonté, une en elle-même, devait maintenir l’inséparabilité de tous, la vie communicative et unificatrice de toutes les créatures , symbole et image de notre Divinité, comme nous inséparables, et bien que nous soyons Trois Personnes divines, nous sommes toujours un, parce que une est la Volonté, une la Sainteté, une notre Puissance. C’est pourquoi nous
voyons toujours l’homme comme s’il n’y en avait qu’un seul, même s’il devait avoir sa très longue génération, mais toujours centralisée en l’un. C’est l’amour incréé qui était infusé par nous en l’homme créé, et par conséquent il devait donner de nous et être comme nous ; et notre Volonté, qui seule agit en nous, devait seule agir en l’homme afin de former l’unité de tous et le lien d’inséparabilité de chacun. C’est pourquoi, en se retirant de notre divin Fiat, l’homme est devenu déformé et désordonné, et il a cessé de ressentir la force de l’unité et de
l’inséparabilité, que ce soit avec son Créateur ou avec toutes les générations. Il s’est senti comme un corps divisé, brisé dans ses membres, et qui ne possède plus toute la force de son corps en entier. C’est pourquoi ma Divine Volonté veut de nouveau entrer comme acte
premier dans la créature afin de réunir les membres brisés et redonner à l’homme l’unité et l’inséparabilité tel qu’il était sorti de nos mains créatrices.


Correspondances dans « L’évangile tel qu’il m’a été révélé » de Maria Valtorta :
        « De l’épisode de la Cène, en plus de la considération de la charité d’un Dieu qui se fait nourriture pour les hommes, quatre enseignements principaux ressortent.
         (…) Voilà la différence entre la personne qui passe dans l’autre vie après s’être nourrie de charité, de foi, d’espérance comme de toute autre vertu et doctrine céleste, ainsi que du Pain angélique qui l’accompagne avec ses fruits dans son dernier voyage — c’est encore mieux avec la présence réelle —, et la personne qui décède après une vie de brute avec une mort de brute que la grâce et l’Eucharistie ne réconfortent pas.
        La première, c’est la fin sereine du saint à qui la mort ouvre le Royaume éternel. La seconde, c’est la chute effrayante du damné qui se voit précipité dans la mort éternelle, et connaît en un instant ce qu’il a voulu perdre sans plus aucune possibilité d’y remédier. Pour l’un, c’est l’enrichissement, pour l’autre le dépouillement. Pour l’un la béatitude, pour l’autre la terreur.
        Voilà ce que vous vous obtenez selon votre foi et votre amour, ou votre incroyance et le mépris de mon don. C’est l’enseignement de cette contemplation. » tome 9 – ch 600.42