SAINTE RITA (1381-1457) RELIGIEUSE AUGUSTINE ITALIENNE-PATRONNE DES CAUSES PERDUES ET DÉSESPÉRÉES
De l’Évangile de Jean 15, 9-11
En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples : « Comme le Père m’a aimé, moi aussi je vous ai aimés. Demeurez dans mon amour. Si vous gardez mes commandements, vous demeurerez dans mon amour, comme moi, j’ai gardé les commandements de mon Père, et je demeure dans son amour. Je vous ai dit cela pour que ma joie soit en vous, et que votre joie soit parfaite. »
Je vous ai dit cela pour que ma joie soit en vous, et que votre joie soit parfaite. Jn 15, 11
l’âme ressent une joie et une satisfaction si grandes qu’elle ne m’aime plus avec son petit amour, mais avec mon amour éternel.
Le livre du Ciel Tome 35, 31 octobre 1937
Plus il y a d’actes accomplis dans un notre Vouloir, plus notre Royaume sera peuplé, et tout le bien débordera sur ceux qui ont été les premiers à donner vie à ma Volonté dans leurs actes. Tu dois savoir que les premiers passeports ont été formés par moi et par ma céleste Mère pour les premiers enfants de ma Volonté. Ces passeports portent ma signature, écrite avec mon sang et avec les souffrances de la très Sainte Vierge. Tous les autres passeports ont encore besoin de ma signature, sinon ils ne seraient pas reconnus. Par conséquent, la créature qui vit dans ma Volonté possède ma vie comme principe, mon amour comme battement de cœur, mes œuvres et mes pas comme dotation et ma Volonté elle-même comme parole. Je me sens moi-même dans cette créature et, oh ! combien je l’aime et je me sens aimé par ce même amour. Et l’âme ressent une joie et une satisfaction si grandes qu’elle ne m’aime plus avec son petit amour, mais avec mon amour éternel. Elle m’étreint avec mes œuvres, elle me poursuit avec mes pas, elle sent que je suis sa vie. Elle trouve tout en moi, et moi en elle. Par conséquent, sois attentive ma fille, si tu veux être heureuse et me rendre heureux également.
Correspondances dans « L’évangile tel qu’il m’a été révélé » de Maria Valtorta :
Mais, pour être certain que vous avez en vous la capacité de me rejoindre, et d’oublier la douleur du deuil de la séparation de votre Jésus, je vous donne un commandement nouveau : que vous vous aimiez les uns les autres. Comme je vous ai aimés, aimez-vous les uns les autres. C’est ainsi que l’on saura que vous êtes mes disciples. Quand un père a de nombreux enfants, à quoi reconnaît-on qu’ils le sont ? C’est moins l’aspect physique qui le montre — car il y a des hommes qui ressemblent à un autre homme avec lequel ils n’ont aucun lien commun de sang ou de nation —, que leur amour commun pour leur famille, pour leur père, et entre eux. Après la mort du père, une bonne famille ne se désagrège pas : c’est le même sang — provenant de la semence du père — qui coule dans les veines de tous, et cela tisse des liens que la mort elle-même ne dénoue pas, parce que l’amour est plus fort que la mort. Or, si vous vous aimez même après mon départ, tous reconnaîtront que vous êtes mes fils et par conséquent mes disciples, et que vous êtes frères, ayant eu un seul père. Tome 9 – ch 600.31