Mardi 13 mai 2025 - Missionnaires de la Divine Volonté

NOTRE-DAME DE FATIMA

À LA FIN MON CŒUR IMMACULÉE TRIOMPHERA

 

De l’Évangile de jean 10, 22-30
On célébrait la fête de la dédicace du Temple à Jérusalem. C’était l’hiver. 
Jésus allait et venait dans le Temple, sous la colonnade de Salomon. 
Les Juifs firent cercle autour de lui ; ils lui disaient : « Combien de temps vas-tu nous tenir en haleine ? Si c’est toi le Christ, dis-le nous ouvertement ! » 
Jésus leur répondit : « Je vous l’ai dit, et vous ne croyez pas. Les œuvres que je fais, moi, au nom de mon Père, voilà ce qui me rend témoignage. 
Mais vous, vous ne croyez pas, parce que vous n’êtes pas de mes brebis. 
Mes brebis écoutent ma voix ; moi, je les connais, et elles me suivent. 
Je leur donne la vie éternelle : jamais elles ne périront, et personne ne les arrachera de ma main. 
Mon Père, qui me les a données, est plus grand que tout, et personne ne peut les arracher de la main du Père. 
Le Père et moi, nous sommes UN. » 

 

Mes brebis écoutent ma voix ; moi, je les connais, et elles me suivent. Jn 10, 27
Ma fille, ces agneaux reposant sur Moi sont les enfants de ma Volonté, les descendants légitimes de ma Volonté suprême.

 

Le livre du Ciel Tome 14, 6 novembre 1922
Alors que j’étais dans mon état habituel, mon toujours aimable Jésus se manifesta en tenant plusieurs petits agneaux sur lui. Quelques-uns reposaient sur sa Poitrine, d’autres sur ses Épaules, d’autres autour de son Cou, certains dans ses bras, à droite et à gauche, certains montraient leur petite tête en dehors de son Cœur. Cependant, les pieds de tous les agneaux reposaient sur le Cœur de Jésus, et il les nourrissait de son souffle. Ils avaient tous la bouche ouverte vers la Bouche de mon doux Jésus pour recevoir leur nourriture. Comme il était beau de voir Jésus se délecter et se réjouir en eux, totalement attentif à les nourrir. Ces
agneaux ressemblaient à des enfants nouvellement nés de son Très Saint Cœur. Jésus me dit : « Ma fille, ces agneaux reposant sur Moi sont les enfants de ma Volonté, les descendants légitimes de ma Volonté suprême. Ils émergent de mon Cœur, mais leurs pieds restent appuyés sur le centre de mon Cœur afin qu’ils ne puissent prendre quoi que ce soit de la terre, ne se souciant de rien d’autre que de Moi. Vois comme ils sont beaux, propres, bien nourris et nourris seulement de mes aliments. Ils seront la gloire et la couronne de la Création. »

 


Correspondances dans « L’évangile tel qu’il m’a été révélé » de Maria Valtorta :

 

La Vierge de Fatima s’adresse à Maria Valtorta

 

« Mes bien chères filles, ayez l’âme de Lucie, de Jacinthe et de François, qui m’ont reçue parce qu’ils étaient simples comme leurs brebis. Sachez regarder constamment vers le haut, car la Mère ne descend pas dans la boue, mais elle se tient au-dessus de vous dans l’azur du ciel. Imitez-moi, ayez ma pureté comme vêtement de l’âme, l’âme en prière comme mes mains jointes pour implorer miséricorde pour les mortels, la douceur de mon sourire pour adoucir la vie communautaire, et surtout un cœur immaculé autant que possible, afin que mes filles héritent du cœur et de l’hérédité de leur mère : imitez-moi, aimez-moi, élevez-vous.
Je ne m’adresse pas à Maria de la Croix.* Elle est dans mon cœur l’unique berceau pour l’apaiser. La pauvre colombe épuisée peut pénétrer dans mon cœur transpercé, y demeurer pour se désaltérer aux larmes de compassion que la mère verse sur elle, et s’y reposer en oubliant l’existence de la haine du monde, car il serait pour elle trop pénible de continuer sans que mon amour ne la console. Aimez-vous donc, vous trois et elle. Aimez-vous en moi et dans mon Fils qui vous a unies dans l’amour par un grand désir de l’aimer.
A Iria, il y a une nouvelle cathédrale. Elle est belle. Mais je désire les petites chapelles des cœurs qui aiment mon cœur. Elles sont plus parfumées d’amour et plus débordantes de roses. Faites en sorte que je puisse descendre dans vos cœurs pour vous communiquer ma douceur et vous enseigner l’acceptation constante de la volonté divine. C’est cette acceptation qui a fait de moi une Reine, car ceux qui déposent leur couronne seront couronnés. En d’autres termes, la couronne de la sainteté repose sur les âmes qui savent déposer la couronne de leur humanité en acceptant de servir le Seigneur en toutes choses.
Que ma bénédiction soit sur vous. »
La veille au soir, le 12 mai, elle m’était apparue, très belle, telle que les trois bergers la virent certainement en haut du chêne vert, pour me dire avec un sourire à tomber en extase : «Je te bénis, ma fille bien-aimée, de toutes les bénédictions de la Mère, tout l’amour de mon cœur pour te consoler de tout. Je te bénis, ma fille bien-aimée. Je te bénis.» Malgré ma grande souffrance physique et morale, je me suis alors endormie paisiblement, comme si tout s’était calmé sous l’effet du sourire et des paroles de Marie.
Les Cahiers de 1945 à 1950, le 13 mai 1946