Jeudi 12 décembre 2024 - Missionnaires de la Divine Volonté

NOTRE-DAME DE GUADALUPE – LA VIERGE MÉTISSE APPARUT À SAINT JUAN DIEGO EN 1531 PRÈS DE MEXICO.

De l’Evangile de Matthieu 11, 11-15
En ce temps-là, Jésus déclarait aux foules : « Amen, je vous le dis : Parmi ceux qui sont nés d’une femme, personne ne s’est levé de plus grand que Jean le Baptiste ; et cependant le plus petit dans le royaume des Cieux est plus grand que lui. Depuis les jours de Jean le Baptiste jusqu’à présent, le royaume des Cieux subit la violence, et des violents cherchent à s’en emparer. Tous les Prophètes, ainsi que la Loi, ont prophétisé jusqu’à Jean. Et, si vous voulez bien comprendre, c’est lui, le prophète Élie qui doit venir. Celui qui a des oreilles, qu’il entende ! »

 

Amen, je vous le dis : Parmi ceux qui sont nés d’une femme, personne ne s’est levé de plus grand que Jean le Baptiste ; et cependant le plus petit dans le royaume des Cieux est plus grand que lui. Mt 11, 11
Ma petite fille de ma Divine Volonté, tu dois savoir que la petitesse de la créature nous sert d’espace où former nos œuvres…

 

Le livre du Ciel Tome 32, 26 mars 1933
Ma petite fille de ma Divine Volonté, tu dois savoir que la petitesse de la créature nous sert d’espace où former nos œuvres et comme dans la Création, le rien nous permet d’appeler la vie dans nos plus belles œuvres. Nous voulons de cette petitesse qu’elle soit vide de tout ce qui ne nous appartient pas, mais vivante pour qu’elle puisse voir combien nous l’aimons, et sentir la vie des œuvres que notre Volonté développe en elle ; tu dois par conséquent être heureuse de ta petitesse sans en être maître, car c’est le grand sacrifice et l’héroïsme de celle qui vit dans la Divine Volonté de se sentir vivante et de se soumettre à son règne divin afin qu’elle puisse faire ce qu’elle veut, quand elle le veut et tant qu’elle le veut ; c’est là le sacrifice des sacrifices, l’héroïsme des héroïsmes. Cela te semble-t-il peu de chose pour une créature de sentir la vie de sa propre volonté sans qu’elle puisse s’en servir, comme si elle n’en avait pas le droit, de perdre volontairement sa propre volonté afin qu’elle puisse servir ma Volonté en lui donnant tous les droits ?


Correspondances dans « L’évangile tel qu’il m’a été révélé » de Maria Valtorta :

 

Livre : Tome 1 – 45.6 – 1ère année vie publique
Enseignement de Jésus :
« Jean n’avait pas besoin de signe pour lui-même. Son âme, sanctifiée dès le sein de sa mère, possédait cette vue de l’intelligence surnaturelle qui aurait été le lot de tous les hommes sans la faute d’Adam.
Si l’homme était resté en état de grâce, dans l’innocence et la fidélité à son Créateur, il aurait reconnu Dieu à travers les apparences extérieures. Il est dit dans la Genèse que le Seigneur Dieu parlait familièrement avec l’homme innocent et que l’homme, loin de s’évanouir au son de cette voix, la discernait sans se tromper. Tel était le destin de l’homme : voir et comprendre Dieu, comme un fils à l’égard de son père. Puis la faute est venue et l’homme n’a plus osé regarder Dieu, il n’a plus su découvrir et comprendre Dieu. Et il le sait de moins en moins.
Mais Jean, mon cousin Jean, avait été purifié de la faute quand la Pleine de Grâce s’était penchée avec amour pour embrasser celle qui, de stérile, était devenue féconde, Elisabeth. Le bébé avait tressailli de joie dans son sein en sentant les écailles de la faute tomber de son âme comme une croûte tombe d’une plaie au moment de la guérison. L’Esprit Saint, qui avait fait de Marie la Mère du Sauveur, commença son œuvre de salut à travers Marie, Ciboire vivant du Salut incarné pour cet enfant qui allait naître et était destiné à m’être uni, moins par le sang que par la mission qui fit de nous comme les lèvres qui forment la parole. Jean était les lèvres et moi la Parole. Il était le Précurseur dans l’Evangile et par sa destinée de martyr. Moi, celui qui transmet ma divine perfection à l’Evangile inauguré par Jean et son martyre pour la défense de la Loi de Dieu.