PRÉSENTATION DE LA BIENHEUREUSE VIERGE MARIE AU TEMPLE
De l’Évangile de Luc 19, 41-44
En ce temps-là, lorsque Jésus fut près de Jérusalem, voyant la ville, il pleura sur elle, en disant : « Ah ! si toi aussi, tu avais reconnu en ce jour ce qui donne la paix ! Mais maintenant cela est resté caché à tes yeux. Oui, viendront pour toi des jours où tes ennemis construiront des ouvrages de siège contre toi, t’encercleront et te presseront de tous côtés ; ils t’anéantiront, toi et tes enfants qui sont chez toi, et ils ne laisseront pas chez toi pierre sur pierre, parce que tu n’as pas reconnu le moment où Dieu te visitait. »
Tu n’as pas reconnu le moment où Dieu te visitait. Lc 19, 44
Il n’a pas voulu me connaître sous l’aspect de l’Amour et de la Miséricorde.
Le livre du Ciel Tome 11, 21 novembre 1915
Me trouvant dans mon état habituel, mon toujours aimable Jésus se montra brièvement. Je le suppliai de changer le décret de la divine Justice. Je lui dis : Mon Jésus, je n’en peux plus. Mon pauvre cœur est broyé à cause des si nombreuses tragédies dont on me parle ! Jésus, ce
sont tes chères images, tes enfants bienaimés qui gémissent sous le poids de tant d’instruments presque infernaux ! » Jésus me répondit : « Ah ! Ma fille, les choses terribles qui se déroulent actuellement ne sont qu’une esquisse du dessin. Ne vois-tu pas le grand
cercle que Je trace ? Qu’arrivera-t-il quand J’en viendrai au vrai dessin ? En plusieurs endroits on dira : “Il y avait ici telle ville, il y avait ici tel édifice.” Quelques endroits disparaîtront complètement. Le temps est court. L’homme a atteint le point où je suis forcé de le châtier. Il voulait presque me provoquer, me défier, et Je restais patient. Mais le temps est venu. Il n’a pas voulu me connaître sous l’aspect de l’Amour et de la Miséricorde. Il me connaîtra sous l’aspect de la Justice. Donc, courage, ne perds pas cœur si hâtivement ! »
Correspondances dans « L’évangile tel qu’il m’a été révélé » de Maria Valtorta :