Ô homme, comme tu t’es défiguré et avili ! Je t’ai créé afin que tu sois mon temple vivant, mais tu es devenu la demeure du diable. Regarde, même les plantes, recouvertes de feuilles, avec leurs fleurs et leurs fruits, t’enseignent l’honnêteté et la pudeur que tu dois avoir pour ton corps. Mais, en perdant toute pudeur et toute réserve naturelle, tu es devenu pire que les bêtes, à tel point que je ne peux te comparer à rien… » Vol 2, 1 août 1899.