Samedi 5 octobre 2024 - Missionnaires de la Divine Volonté

SAINTE FAUSTINE KOWALSKA (1905-1938) MESSAGÈRE DE LA DIVINE MISÉRICORDE 

De l’Évangile de Luc 10, 17-24
En ce temps-là, les 72 disciples que Jésus avait envoyés revinrent tout joyeux, en disant : « Seigneur, même les démons nous sont soumis en ton nom. » Jésus leur dit : « Je regardais Satan tomber du ciel comme l’éclair. Voici que je vous ai donné le pouvoir d’écraser serpents et scorpions, et sur toute la puissance de l’Ennemi : absolument rien ne pourra vous nuire. Toutefois, ne vous réjouissez pas parce que les esprits vous sont soumis ; mais réjouissez-vous parce que vos noms se trouvent inscrits dans les cieux. » À l’heure même, Jésus exulta de joie sous l’action de l’Esprit Saint, et il dit : « Père, Seigneur du ciel et de la terre, je proclame ta louange : ce que tu as caché aux sages et aux savants, tu l’as révélé aux tout-petits. Oui, Père, tu l’as voulu ainsi dans ta bienveillance. Tout m’a été remis par mon Père. Personne ne connaît qui est le Fils, sinon le Père ; et personne ne connaît qui est le Père, sinon le Fils et celui à qui le Fils veut le révéler. » Puis il se tourna vers ses disciples et leur dit en particulier : « Heureux les yeux qui voient ce que vous voyez ! Car, je vous le déclare : beaucoup de prophètes et de rois ont voulu voir ce que vous-mêmes voyez, et ne l’ont pas vu, entendre ce que vous entendez, et ne l’ont pas entendu. » 

 

Réjouissez-vous parce que vos noms se trouvent inscrits dans les cieux. Lc 10, 20
Le Royaume de notre Volonté est déjà établi. Nous connaissons leur nombre ; nous savons qui ils sont et nous connaissons leurs noms.

 

Le livre du Ciel Tome 36, 6 mai 1938
Tu dois savoir que lorsque moi, le Verbe éternel, dans l’excès de mon amour, je descendis du ciel sur la terre, ces âmes qui vivent et vivront dans mon Fiat, étant inséparables de nous, sont descendues avec moi. Et avec la céleste Reine à leur tête, elles formaient mon peuple, mon armée fidèle, mon vivant palais Royal dans lequel je me constituais vrai Roi de ces enfants de mon divin Vouloir. Je ne serais jamais descendu du ciel sans être accompagné de
mon peuple, sans un Royaume où je pouvais régner avec mes lois d’amour. Pour nous, tous les âges sont comme un seul point dans lequel tout nous appartient et où nous trouvons tout en acte. Je suis descendu du ciel comme maître et Roi de mes enfants. Je me suis vu courtisé et aimé comme nous savons aimer nous-mêmes. Mon amour était si grand que je les ai fait demeurer conçus avec moi. Je n’aurais pas pu tolérer de ne pas trouver mes enfants qui m’aimaient. Nous avons vécu ensemble dans le sein de ma Maman souveraine. Ils sont nés de nouveau avec moi et ont pleuré avec moi. Ce que j’ai fait, ils l’ont fait. Nous avons marché,
travaillé, prié et souffert ensemble. Et je peux dire qu’ils étaient également avec moi sur la croix pour mourir et ressusciter à une vie nouvelle que je suis venu apporter aux générations humaines. Ainsi, le Royaume de notre Volonté est déjà établi. Nous connaissons leur nombre ; nous savons qui ils sont et nous connaissons leurs noms. Notre Volonté nous fait déjà sentir leur ardente palpitation d’amour. Oh ! combien nous les aimons et comme nous languissons après ce temps !


Correspondances dans « L’évangile tel qu’il m’a été révélé » de Maria Valtorta :
Sainte Faustine Kowalska
Faustine Kowalska est une religieuse polonaise (1905-1938). Béatifiée en 1993, canonisée en 2000, elle mena une vie intérieure intense, comblée d’expériences mystiques. En particulier, il lui fut confié la mission de promouvoir la dévotion à la Divine Miséricorde.
[Jésus dit à la mystique Maria Valtorta : ]
« Fais-moi connaître aussi largement que possible, moi qui suis la Miséricorde, et fais connaître les prières que j’ai dictées à sœur Marie-Faustine. Toute âme que tu m’amènes accroît ton degré de gloire. Si tu savais quels flots de grâces je déverse sur ceux qui me prient sous le titre du Dieu de miséricorde ! Fais-moi connaître, et, chaque année, du vendredi saint — journée toujours fatidique pour toi — au dimanche in Albis, prie la neuvaine à la divine Miséricorde pour ramener à moi tous ceux dont il y est fait mémoire. »
« Fais la neuvaine à la divine Miséricorde, sans attendre la date spécifique, pour les communistes, en particulier pour ceux qui te sont proches, pour les hérétiques, les schismatiques, les frères séparés ; et aussi pour les prêtres de tout ordre, afin qu’ils redeviennent ce qu’étaient mes premiers prêtres : héroïques, ardents, du vrai sel qui donne du goût aux âmes, une vraie lumière qui apporte la lumière aux âmes. »
Les Carnets, les 26 et 28 mai 1953