Dimanche 21 janvier 2024 - Missionnaires de la Divine Volonté
De l’Évangile de Marc 1, 14-20
Après l’arrestation de Jean, Jésus partit pour la Galilée proclamer l’Évangile de Dieu ; il disait : « Les temps sont accomplis : le règne de Dieu est tout proche. Convertissez- vous et croyez à l’Évangile. » Passant le long de la mer de Galilée, Jésus vit Simon et André, le frère de Simon, en train de jeter les filets dans la mer, car c’étaient des pêcheurs. Il leur dit : « Venez à ma suite. Je vous ferai devenir pêcheurs d’hommes. » Aussitôt, laissant leurs filets, ils le suivirent. Jésus avança un peu et il vit Jacques, fils de Zébédée, et son frère Jean, qui étaient dans la barque et réparaient les filets. Aussitôt, Jésus les appela. Alors, laissant dans la barque leur père Zébédée avec ses ouvriers, ils partirent à sa suite. 

 

« Venez à ma suite. Je vous ferai devenir pêcheurs d’hommes. » Mc 1, 17
Tel un pécheur, je prends dans mon filet ceux qui doivent me servir pour un Royaume si saint.

 

Le livre du Ciel Tome 23, 18 janvier 1928
Ma fille, tu t’inquiètes à cause de cela, mais moi, pas du tout, et je n’en suis pas contrarié. Je me réjouis au contraire de voir l’intérêt que prennent les prêtres pour ces écrits qui formeront le Royaume de ma Volonté. Cela veut dire qu’ils en apprécient le grand bien et que chacun voudrait garder pour soi un si grand trésor afin d’être le premier à le communiquer aux autres. Et alors que la controverse se poursuit, on consulte les uns et les autres pour savoir ce qu’il faut faire. Je suis heureux que mes autres ministres apprennent l’existence du grand trésor de faire connaître le Royaume de ma Divine Volonté, et je me sers de cela pour former les premiers prêtres de la venue du Royaume de mon Fiat. Ma fille, il est très nécessaire de former les premiers prêtres. Ils me seront utiles comme l’ont été mes apôtres pour former mon Église. Et ceux qui s’emploieront à publier ces écrits pour les faire connaître seront les nouveaux évangélistes du Royaume de ma suprême Volonté. Et puisque ceux qui sont nommés le plus souvent dans mon Évangile sont les quatre évangélistes, pour leur plus grand honneur et pour ma gloire, il en sera ainsi pour ceux qui travailleront à la rédaction des connaissances de ma Volonté et à leur publication. Tels de nouveaux évangélistes, leur nom reviendra plus souvent dans le Royaume de ma Volonté, pour leur très
grand honneur et ma plus grande gloire de voir le retour en mon sein de l’ordre de la créature, la vie du Ciel sur la terre, qui est l’unique raison de la Création. Par conséquent, à travers ces circonstances, j’agrandis le cercle et tel un pécheur, je prends dans mon filet ceux qui doivent me servir pour un Royaume si saint. Aussi, laisse-moi faire et n’y pense plus.

Correspondances dans « L’évangile tel qu’il m’a été révélé » de Maria Valtorta :

 Quand Jean arrive près de Jésus, à peine à deux ou trois mètres derrière lui, il crie :
«Agneau de Dieu, qui enlèves les péchés du monde !»
Jésus se retourne et le regarde. Ils sont à quelques pas l’un de l’autre.
Ils s’observent, Jésus de son regard sérieux et pénétrant, Jean de son regard pur et rieur dans son charmant visage juvénile qui pourrait être celui d’une jeune fille. On lui donne plus ou moins vingt ans et sur ses joues roses, on ne remarque rien qu’un duvet blond qui ressemble à un voile d’or.
«Qui cherches-tu ? demande Jésus.
– Toi, Maître.
– Comment sais-tu que je suis maître ?
– C’est Jean-Baptiste qui me l’a dit.
– Et alors, pourquoi m’appelles-tu Agneau ?
– Parce que je l’ai entendu t’appeler comme cela, un jour où tu es passé, il y a plus d’un mois.
– Qu’attends-tu de moi ?
– Que tu nous dises les paroles de vie éternelle et que tu nous consoles.
– Mais qui es-tu ?
– Je suis Jean, fils de Zébédée, et lui, c’est mon frère Jacques. Nous sommes de Galilée, nous sommes pêcheurs et nous sommes aussi disciples de Jean. Lui, il nous disait des paroles de vie et nous l’écoutions, car nous voulons suivre Dieu, et par la pénitence mériter son pardon en préparant les chemins du cœur à la venue du Messie. C’est toi. Jean l’a dit, car il a vu le signe de la Colombe se poser sur toi, et nous a dit : “Voici l’Agneau de Dieu.” Moi, je te dis : Agneau de Dieu, qui enlèves les péchés du monde, donne-nous la paix, parce que nous n’avons plus de guide, et notre âme est troublée.
– Où est Jean ?
– Hérode l’a fait arrêter. Il est en prison à Machéronte. Ses plus fidèles parmi nous ont bien essayé de le délivrer, mais c’était impossible. Nous revenons de là.    Tome 1, chapitre 47.