L'ÂME DANS LA DIVINE VOLONTÉ DOIT ÊTRE MALLÉABLE - Missionnaires de la Divine Volonté

D’après les écrits de Luisa Piccarreta, âme victime et mystique en voie de béatification.

Volume 11, 25 mai 1912
Ce matin, mon toujours aimable Jésus, me voyant très oppressée, m’a fait boire à son Coeur, puis Il m’a dit :
« Ma fille, si un objet est dur et que l’on veuille y faire un trou ou lui donner une autre forme, on l’abîmera ou bien, il sera brisé. Au contraire, s’il est tendre ou d’une pâte molle, on peut y faire le trou, on peut lui donner la forme que l’on veut, sans craindre qu’il puisse se briser, et si l’on voulait lui redonner sa forme d’origine, sans aucune difficulté l’objet se prêterait à tout. Telle est l’âme dans ma Volonté : elle est un objet malléable et Moi J’en fais ce que Je veux ; tantôt Je la blesse, tantôt Je l’embellis, tantôt Je l’agrandis. En un instant Je la refais à nouveau et l’âme se prête à tout, elle ne s’oppose à rien et Je la porte toujours dans mes mains et me délecte en elle continuellement. »

 

Suggestions :
* Un aspect de l’abandon de ma volonté à Dieu est d’être docile et modelable à tout ce que la Divine Volonté veut de moi. Je renouvellerai l’abandon de ma volonté et de tout moi-même en acceptant d’être disposé et disponible à tout ce que Dieu attend de moi. Je l’appliquerai en toute chose, surtout dans les circonstances qui me coûtent.
* S’il y a quelque chose qui me coûte, je demanderai à Dieu de m’aider à renoncer à ma volonté et à m’abandonner sans résistance à la Sienne, afin qu’en toute chose je puisse travailler dans Sa Volonté et qu’Il puisse accomplir Son œuvre en moi.