En ce temps-là, Jésus disait : « À quoi le règne de Dieu est-il comparable, à quoi vais-je le comparer ? Il est comparable à une graine de moutarde qu’un homme a prise et jetée dans son jardin. Elle a poussé, elle est devenue un arbre, et les oiseaux du ciel ont fait leur nid dans ses branches. » Il dit encore : « À quoi pourrai-je comparer le règne de Dieu ? Il est comparable au levain qu’une femme a pris et enfoui dans trois mesures de farine, jusqu’à ce que toute la pâte ait levé.»
« À quoi pourrai-je comparer le règne de Dieu ? Il est comparable au levain qu’une femme a pris et enfoui dans trois mesures de farine, jusqu’à ce que toute la pâte ait levé.» Lc 13, 21
Telle est ma Divine Volonté plus que le levain, elle met la divine fermentation dans l’acte humain, et l’acte humain devient un acte divin.
Le livre du Ciel Tome 26, 15 septembre 1929
lorsque la créature opère dans mon Fiat, la force créatrice entre dans son acte pour le placer dans la fontaine de la divine immensité; et le petit acte de la créature se transforme, l’un en fontaine de lumière, l’autre en fontaine d’amour, d’autres encore en fontaines de bonté, de beauté, de sainteté. En somme, plus elle accomplit d’actes, plus
elle acquiert de fontaines divines ; et ils grandissent au point de s’étendre dans l’immensité de leur Créateur. Il en est comme de la levure qui a la vertu de faire lever la farine pourvu qu’en formant le pain, on y mette un peu de levure comme germe de fermentation. Mais si on n’y met pas de levure, même si la farine est la même, le pain ne
sera jamais au levain, mais restera sans levain. Telle est ma Divine Volonté plus que le levain elle met la divine fermentation dans l’acte humain, et l’acte humain devient un acte divin. Et lorsque je trouve le germe de ma Divine Volonté dans l’acte de la créature, je souffle avec délice sur son acte et le fais lever jusqu’à le rendre immense, et plus encore puisque nous pouvons appeler cet acte ‘notre acte’ c’est notre Volonté opérant dans la créature.
Correspondances dans « L’évangile tel qu’il m’a été révélé » de Maria Valtorta :
“Écoutez. Ici sur mes genoux j’ai un garçon qui a parlé très sagement. Il a dit: “Tout ce qu’on obtient par tromperie devient de la paille”. Sa maman lui a enseigné cette vérité.
Ce n’est pas une fable. C’est une vérité éternelle. Ce qu’on fait sans honnêteté ne réussit jamais. En effet le mensonge dans les paroles, dans les actes, dans la religion, c’est toujours le signe d’une alliance avec Satan, le maître du mensonge. Ne croyez pas que les œuvres qui permettent d’obtenir le Royaume des Cieux sont bruyantes et tapageuses. Ce sont des actions ordinaires, communes, mais faites dans un but surnaturel d’amour. L’amour c’est la semence de la plante qui, naissant en vous, s’élève jusqu’au Ciel et c’est à son ombre que naissent toutes les autres vertus. Je le comparerai à une minuscule graine de sénevé. Comme elle est petite ! Une des plus petites parmi celles que l’homme sème. Et pourtant regardez quand la plante s’est développée combien elle devient forte avec sa frondaison épaisse et combien de fruits elle donne. Ce n’est pas le cent pour cent, mais le cent pour un. La plus petite, mais la plus active. Que de profit elle vous donne. Tome 3, chapitre 184.