En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples : « Quand viendra le Défenseur, que je vous enverrai d’auprès du Père, lui, l’Esprit de vérité qui procède du Père, il rendra témoignage en ma faveur. Et vous aussi, vous allez rendre témoignage, car vous êtes avec moi depuis le commencement. Je vous parle ainsi, pour que vous ne soyez pas scandalisés. On vous exclura des assemblées. Bien plus, l’heure vient où tous ceux qui vous tueront s’imagineront qu’ils rendent un culte à Dieu. Ils feront cela, parce qu’ils n’ont connu ni le Père ni moi. Eh bien, voici pourquoi je vous dis cela : quand l’heure sera venue, vous vous souviendrez que je vous l’avais dit. »
Quand viendra le Défenseur, que je vous enverrai d’auprès du Père, lui, l’Esprit de vérité qui procède du Père, il rendra témoignage en ma faveur. jn 15,26
Oh ! comme la créature est belle dans notre Esprit divin, car elle est formée par le souffle continuel de notre amour.
Le livre du Ciel Tome 33, 28 septembre 1935
Ma bienheureuse fille, écoute-moi, laisse-moi soulager mon amour. Tu dois savoir que la créature a toujours été avec nous dans notre Esprit divin. Elle a toujours occupé son poste dans le sein de son Créateur, et ab aeterno
chaque acte, chaque pensée, parole, œuvre et pas de la créature était orné de notre amour spécial. De sorte qu’en chacun de ses actes se trouve la chaîne de nos actes d’amour qui comprend la pensée, la parole, etc., de la créature ;
et cet amour donne la vie, il nourrit les répétitions de tous ses actes et, oh ! comme la créature est belle dans notre Esprit divin, car elle est formée par le souffle continuel de notre amour, un amour voulu, non forcé, un amour non
pas de nécessité, mais venant de la vertu générative de notre Être suprême qui toujours génère et place son amour continuel sur ses œuvres, en vertu de notre Fiat omnipotent qui, s’il ne pouvait pas générer de nouvelles œuvres et
maintenir son acte d’amour continuel, se sentirait étouffé dans ses flammes et paralysé dans son mouvement continuel. Comme nous voulons que la créature sorte de notre Sein divin, nous lui faisons faire son petit chemin
dans le temps, et notre amour ne cesse pas de suivre, d’investir, de courtiser tous ses actes de son amour spécial. Si cet amour devait lui manquer, la créature n’aurait pas le moteur, la force générative et vivifiante de l’être
humain. Oh ! si les créatures savaient qu’en chacune de leurs pensées, en chaque parole et en chaque œuvre, dans leur souffle et dans leurs pulsations, se trouve un amour distinct de leur Créateur, oh ! combien elles nous
aimeraient et cesseraient de profaner par des actes indignes un amour si grand. Tu vois par conséquent combien je t’aime et combien ton Jésus sait aimer. Aussi, apprends de moi à m’aimer. C’est la prérogative de notre amour de toujours aimer ce qui est sorti de nous, de faire surgir de notre amour tous les actes de la créature.
Correspondances dans « L’évangile tel qu’il m’a été révélé » de Maria Valtorta :
“ Tu m’as haï sans raison. ” Cependant, quand viendra le Consolateur, l’Esprit de vérité qui procède du Père, ce sera lui qui rendra témoignage en ma faveur, et vous aussi, vous me rendrez témoignage parce que vous êtes avec moi depuis le commencement.
Je vous dis tout cela pour que, l’heure venue, vous ne succombiez pas et ne vous scandalisiez pas. Le temps va venir où on vous chassera des synagogues et où quiconque vous mettra à mort s’imaginera rendre un culte à Dieu. Ceux-là n’ont connu ni le Père ni moi. C’est là leur excuse. Je ne vous ai pas autant explicité ces vérités auparavant, parce que vous étiez comme des enfants nouveaux-nés. Mais maintenant, votre mère vous quitte. Je m’en vais. Vous devez vous accoutumer à une autre nourriture. Je veux que vous la connaissiez. Tome 9 – ch 600.33