De l’évangile de Matthieu 9, 32-38
Jésus parcourait toutes les villes et tous les villages, enseignant dans leurs synagogues, proclamant l’Évangile du Royaume et guérissant toute maladie et toute infirmité.
Tous les actes que j’ai faits en rédimant l’homme, et même les miracles que j’ai accomplis durant ma vie publique n’avaient d’autre but que de ramener le Royaume du Fiat suprême parmi les créatures.
Le livre du Ciel Tome 20, 26 octobre 1926
Ma fille, vois comment tous les actes que j’ai faits en rédimant l’homme, et même les miracles que j’ai accomplis durant ma vie publique, n’avaient d’autre but que de ramener le Royaume du Fiat suprême parmi les créatures ; et ce faisant, je demandais au Père céleste de le faire connaître et de le restaurer dans les générations humaines. Si je rendais la vue aux aveugles, mon acte premier était de chasser l’obscurité de la volonté humaine, cause première de la cécité de l’âme et du corps, afin que la lumière de ma Volonté puisse illuminer les âmes de tous les aveugles pour qu’ils puissent voir ma Volonté et l’aimer, et que leur corps puisse également ne pas perdre la vue. Si je rendais l’ouïe aux sourds, je demandais premièrement au Père qu’ils puissent acquérir l’ouïe pour entendre les voix, les connaissances, les prodiges de ma Divine Volonté et qu’elle puisse entrer dans leur cœur pour les dominer,
et qu’il n’y ait plus de sourds dans le monde –dans l’âme ou dans le corps. Dans les morts que j’ai ressuscités, je demandais que l’âme puisse renaître dans ma Volonté éternelle –même ceux qui étaient putréfiés et rendus comme des cadavres par la volonté humaine.
Correspondances dans « L’évangile tel qu’il m’a été révélé » de Maria Valtorta :
Au milieu, avec des mouvements et des mugissements d’ours ou de loup enchaîné, un homme avec les poignets bien attachés pour qu’il ne s’enfuie pas. Il mugit en s’agitant avec des mouvements de bête et comme s’il cherchait sur le sol je ne sais quoi. Mais quand il lève les yeux et rencontre le regard de Jésus, il pousse un hurlement bestial, inarticulé, un véritable hurlement et il cherche à s’enfuir.
La foule, presque tous les adultes de Capharnaüm, s’écarte, effrayée. “Viens, par charité ! Cela le reprend comme auparavant…”
“Je viens tout de suite.”
Et Jésus descend rapidement et va en face du malheureux qui est plus agité que jamais.
“Sors de lui. Je le veux.”
Le hurlement s’évanouit en une seule parole : “Paix !”
“Oui, la paix. Aie la paix, maintenant que tu es délivré.”
La foule crie, émerveillée, en voyant le brusque passage de la fureur à la tranquillité, de la possession à la délivrance, du mutisme à la parole. Tome 4, chapitre 232.