Jeudi 17 février 2022 - Missionnaires de la Divine Volonté
De l’évangile de Marc 8, 27-33
Tes pensées ne sont pas celles de Dieu, mais celles des hommes.
Mais, étant libre, l’homme peut faire en sorte que ses pensées, ses paroles, etc. soient pour le bien ou pour le mal.

 

Le livre du Ciel Tome 14,11 novembre 1922
Je n’ai pas créé l’homme pour qu’il soit esclave, mais libre. Et ainsi, Je l’ai pourvu d’une volonté libre. Il n’aurait pas été convenable ni digne de Moi de créer l’homme dépourvu de liberté. Et Je n’aurais pas pu dire « faisons l’homme à notre image et à notre ressemblance » si Je ne l’avais pas créé libre. De même que Je suis libre, ainsi l’homme doit être libre. Car rien ne blesse davantage qu’un Amour qui contraint. Il cause la méfiance, les doutes, les peurs et la nausée chez celui qui le reçoit. Tu vois quelle est l’origine des actes des créatures, même de leurs pensées : ils sont engendrés dans ma Volonté. Mais, étant libre, l’homme peut faire en sorte que ses pensées, ses paroles, etc. soient pour le bien ou pour le mal. Il peut les rendre saints ou pervers. Ma Volonté a éprouvé de l’angoisse en voyant que les actes de nombreuses créatures se sont transformés en actes pernicieux. C’est pourquoi J’ai désiré que ma Volonté agisse doublement dans chaque acte des créatures, afin que soit adjoint à chacun un autre acte, un acte divin. Ces actes divins me donneront toute la gloire que ma Volonté mérite. Mais quelqu’un devait rendre tout cela possible. D’où le besoin de mon Humanité. Sainte, libre, et ne désirant aucune autre vie que celle de la Divine Volonté, mon Humanité nagea dans l’immense mer de la Divine Volonté, couvrant d’actes divins toutes les pensées, toutes les paroles et tous les travaux des créatures. Cela donna satisfaction et gloire au Père
céleste, lui permettant de contempler de nouveau l’homme et de lui ouvrir les portes du Ciel. Voyant la réaction de mon Père, J’ai lié encore plus fermement la volonté humaine à sa Volonté, dont la séparation avait précipité l’humanité dans toutes ses misères. J’ai ainsi gagné pour l’humanité la possibilité de reposer dans la Volonté du divin Père et de rejeter toute séparation future d’avec cette Divine Volonté. Toutefois, cela n’était pas suffisant pour me satisfaire. J’ai voulu que ma sainte Mère Me suive dans l’immense mer de la Volonté Suprême et
reproduise tous les actes humains avec Moi. Cela allait donner aux actes des hommes un deuxième sceau en plus du sceau que Je leur ai accordé à travers mes actes humains accomplis dans la Divine Volonté.

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Correspondances dans « L’évangile tel qu’il m’a été révélé » de Maria Valtorta :

“Et vous, qui dites-vous que je suis ? Dites-le vraiment d’après votre jugement, sans tenir compte de mes paroles et de celles d’autrui. Si vous étiez obligés de me juger, qui diriez-vous que je suis ?”

“Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant” s’écrie Pierre en s’agenouillant, les bras tendus en haut, vers Jésus qui le regarde avec un visage tout lumineux et qui se penche afin de le relever pour l’embrasser (…) Tome 5, chapitre 343