De l’évangile de Luc 1, 57-66
Ils lui dirent: Il n’y a dans ta parenté personne qui soit appelé de ce nom. Lc 1,61
« Oublie tout, même la maison de ta mère la terre, et viens vivre du ciel »
Le livre du Ciel Tome 32, 7 mai 1933
Ma bienheureuse fille, lorsque l’âme entre dans mon Vouloir, il lui dit avec son empire : « Oublie tout, même la maison de ta mère la terre, et viens vivre du ciel », car il n’y pas de place pour les misères et le malheur où ma
lumière détruit tout et transforme les maux en bien. Tu dois savoir que la volonté symbolise le souffle qui enflamme ou éteint la vertu ; si l’on veut enflammer, en soufflant sur une petite étincelle, on peut provoquer un grand feu ; si la volonté est d’éteindre, en soufflant, on peut lui enlever la vie et la réduire en cendres. Telle est la volonté humaine. Si elle veut faire la mienne, elle souffle dans tous ses actes et ma Volonté anime ce souffle de sa
puissance, et ses petits actes, comme des étincelles, sont changés en flammes. En répétant ses actes, elle répète le souffle de façon à faire de la petite créature une flamme de lumière de Divine Volonté. Par contre, si elle veut
faire sa volonté, elle éteint toute chose par son souffle et demeure dans une nuit profonde, sans même le bien des petites étincelles. Ainsi la créature qui vit dans ma Volonté acquiert la lumière dans sa nature, elle voit la lumière
dans tous ses actes et ils lui parlent de lumière. La créature qui fait sa propre volonté acquiert les ténèbres et la nuit dans sa nature, et l’obscurité naît de tous ses actes qui lui parlent de misères, de peur et d’appréhensions qui
rendent sa vie insupportable.
Correspondances dans « L’évangile tel qu’il m’a été révélé » de Maria Valtorta :
Le moment de la circoncision arrive.
« Nous l’appellerons Zacharie. Tu es âgé, et il convient que l’on donne ton nom à l’enfant, disent les hommes.
– Ah, ça non ! S’exclame sa mère. Son nom est Jean. Par son nom, il doit rendre témoignage à la puissance de Dieu.
– Mais quand donc y a-t-il eu un Jean dans notre famille ?
– Peu importe. Il doit s’appeler Jean.
– Qu’en dis-tu, Zacharie ? Tu souhaites qu’il porte ton nom, n’est-ce pas ? »
Zacharie fait signe que non. Il prend la tablette et écrit :
« Son nom est Jean. »